Meilleur télescope – Avis et Comparatif (Top 10)

Explorer le ciel ne serait-ce que de nos yeux est et reste une activité plus que ludique. Une passion pour certains, un rêve pour les enfants ou tout simplement une découverte toujours aussi exceptionnelle pour d’autres; Mais c’est avant tout une rencontre qui émerveille avec les éléments célestes des plus petits aux plus grands. Ainsi, du simple fait de contempler les innombrables étoiles qui brillent qu’elles soient parsemées ou filantes, à l’admiration des planètes et l’étude de phénomènes spectaculaires dont regorge l’infini univers, en passant par l’observation d’autres merveilles qui le composent à l’instar de la lune, du soleil et autres comètes et astéroïdes… tant de magie qui nous fait vivre un voyage époustouflant rendu possible grâce à un instrument en particulier: le meilleur télescope.

Un outil si ingénieux et incontournable qu’ils en existent des modèles par milliers. Il y’en a pour tous les budgets et surtout pour tous les goûts.

Comment choisir un bon télescope ?

Bien choisir son télescope dépend en premier lieu de votre expérience dans le domaine. Le niveau de maîtrise de l’appareil est une chose essentielle et nous renseigne déjà sur le type de télescope vers lequel il faut s’orienter, ce qui diverge selon l’image projetée. En deuxième lieu, votre envie et objectif visé à travers cette discipline pèse beaucoup dans la sélection, car le mode d’usage varie de terrestre à céleste, d'amateur à professionnel où les aspects pratique et de maniabilité sont à prévoir selon vos connaissances. Autant de paramètres à considérer et à allier aux différents coûts de l’appareil.

Le lieu d’observation

Observer en ville ou à la campagne n’est pas pareil. La différence réside dans la densité des lumières synthétiques qui cause une pollution lumineuse en milieu urbain. Chose qui gâche tout le spectacle si on a pas le bon diamètre tubulaire et donc le bon système optique qui se décline en deux catégories: Les télescopes réfracteurs, communément appelés “lunettes astronomiques” concentrent, grâce aux lentilles, la lumière émise vers le foyer permettant d’admirer le système solaire. Par contre, les télescopes réflecteurs, dotés de grands diamètres d’ouverture, sont, eux, destinés à observer le ciel profond vu la netteté de l’image offerte.

L’usage

Savoir ce que vous voulez observer est une question inévitable quand on cherche un télescope. Votre besoin de contemplation est terrestre ou astronomique ? Planétaire ou galactique ?
Ainsi, si vous débutez et que c’est plus un loisir de découvrir de près les planètes qui nous entourent, la lune et le soleil, nous vous conseillons un télescope de type Newton ou Cassegrain d’une longueur focale moyenne pour un taux de grossissement favorable. Mais pour les plus habitués qui cherchent à guetter des nébuleuses ou des constellations, on opte pour le type Maksutov-Cassegrain, plus sophistiqué et à la résolution des plus élevées.

Le gabarit

Les télescopes les plus répandus et les plus utilisés sont les plus légers, à l’image des lunettes astronomiques. D’ailleurs le type Schmidt-Cassegrain est très compacte, facile à ranger et idéal en déplacement. A l’opposé, les engins de qualité, plus performants en terme de visibilité et plus puissants lorsqu’il s’agit de montrer les détails d’une image sans la flouter et sans aberrations visuelles, sont lourds et encombrants.

Le budget

Le rapport qualité/prix est un facteur primordial dans votre choix. En joignant l’utile à l’agréable, il se trouve que moins le coût est élevé, l’appareil est facilement maniable, nécessite peu de réglages et donc plus pratique. Vice versa, plus le coût est élevé, le télescope requiert une maîtrise des réglages conséquente avec une manipulation délicate et des connaissances solides en astronomie. Cela dit, cette gamme là satisfait la curiosité des plus gourmands avec des images somptueuses.

Comment utiliser un télescope

Quand on pratique l’astronomie, c’est pour prendre du plaisir… pas pour se prendre la tête! La complexité de la discipline peut vous mettre dans une situation de frustration de n’avoir rien vu de la soirée alors que vous comptiez admirer tous ces joyaux au dessus de nos têtes et vous finissiez plus à les chercher pendant des heures sans pouvoir les trouver. Tout cela pour la simple raison que vous saviez pas comment s’y prendre. Afin d’éviter ce désagrément, quelques notions s’imposent et nous allons tenter de vous éclairer un tant soit peu sur le fonctionnement de l’outil majeur.

Le montage

Commencez par installer le trépied et vérifier qu’il bien à niveau. Sur lequel il faut fixer la monture (azimutale ou équatorial) en lui annexant la barre des contres-poids. Par la suite, mettez le tube du télescope dans les colliers de la monture sur laquelle viennent se placer les manettes de réglages, une d'ascension droite et une de déclinaison. Là, vous arrivez à la dernière étape du montage qui est d'installer le chercheur, d’éventuelle lentille de Barlow mais surtout l’oculaire approprié à l’objet observé et le grossissement souhaité qui est déduit de la longueur focale divisée par le diamètre de l’oculaire.

L’équilibrage

Il se concrétise en deux réglages: celui de l’axe d’ascension droite que vous devriez dévisser et positionner le télescope de telle sorte à ce qu’il ne balance pas d’un côté comme de l’autre en jouant sur la position des contres-poids. Il y’a aussi l’axe de déclinaison qu’il faudra ajuster jusqu’à ce que l’appareil reste droit sans qu’il bascule dans un sens ou l’autre.

La mise en station

Avant cette phase, deux détails précieux méritent l’attention: le premier étant de régler le chercheur, dont le rôle est de viser un astre sujet d’observation, de telle sorte à ce qu’il soit aligné avec le télescope. Le deuxième est de conséquence car il s’agit de s’adapter au type de monture utilisée dépendant du nombre d’axes qu’elle compte.

La mise en station de votre gadget consiste à viser l’étoile polaire horizontalement, grâce à l’axe azimutal, et verticalement, grâce à l’axe de latitude. Deux axes qui doivent être fixées durant l’observation qui sera conduite seulement avec les manettes d'ascension droite et de déclinaison.
Votre télescope est, désormais fonctionnel et prêt à vous permettre de contempler tous les objets célestes que vous voulez.

FAQ : les questions des clients

J’aimerais observer des galaxies, mais aussi des planètes, quel télescope faudrait-il acheter ?

Pour les galaxies, il faudrait absolument un télescope réflecteur d’une ouverture de plus de 170 mm, diamètre minimum à partir duquel l’observation de ces astres lointains devient attrayante et largement favorable pour admirer les planètes dans les plus infimes détails de leurs surfaces.
Reste maintenant, le type de télescope à privilégier entre le Newton, très populaire chez les débutants en astronomie, le Schmidt-Cassegrain qui est un télescope catadioptrique caractérisé par la “lame de Schmidt” servant à supprimer l'aberration optique, ou encore le Maksutov-Cassegrain, plus sophistiqué et plus coûteux. Cela dit, pour un même budget, les réflecteurs Newton vous donnent la plus grande ouverture.

Comment faire pour observer le soleil avec mon télescope ?

Pour cela, vous avez inévitablement besoin d’un filtre solaire, de préférence en verre, à placer sur l’objectif et non sur l’oculaire, chose qui peut se révéler dangereuse. Cet accessoire indispensable ne laisse entrer qu’une petite fraction et sans risques de la lumière du soleil.
De même principe existe-t-il un filtre lunaire et qu’il est primordial de se procurer quand on a l’intention d’admirer la splendeur de la lune, seul satellite naturel de la Terre.

Quel prix dois-je mettre pour avoir un bon télescope ?

Quand on pose la question d’argent, les attentes sont sujet de discussion puisqu’il existe des télescopes, disons bon marché, aux environs de 50 €. Mais si vous vouliez pratiquer l’astronomie amateur de façon passionnante et sans connaître trop de désillusions, prévoyez une somme d’au moins 200 € où l’on peut trouver des appareils très pratiques et facilement maniables. Maintenant, les télescopes de marque peuvent aller jusqu’à 1000 € et plus car ils offrent de meilleures performances et qualités optiques, de la stabilité mécanique et une durabilité de plusieurs années.

La monture a-t-elle de l’importance ?

Si votre objectif est de regarder le ciel, de façon optimale, la réponse est clairement oui. Son rôle étant de stabiliser votre instrument pour pouvoir suivre la trajectoire des objets célestes. Pour se faire, misez sur une monture lourde plutôt qu’en plastique, même si cela aura un impact pas des moindres sur le poids en cas de déplacement. Il en existe, par ailleurs, deux grandes catégories de montures: l’équatoriale qui fonctionne en alignant un de ses axes sur l’étoile polaire et l’astronome actionne l’autre pour suivre l’objet d’observation; diversement de l’azimutale dont les orientations possible sont de bas en haut et de gauche à droite.